les paroles de l'hymne de la league des champions.
il est certain que ça ne sert pas à grand chose pour un entretien d'embauche mais ç'est assez facile d'épater ses amis avec:
Ceux sont les meilleures équipes,
Es sind die aller besten Mannschaften, the main event,
Dis Meister, die Besten, les meilleures équipes, the champions,
Les grandes et les meilleures!
Eine grosse stattliche Veranstaltung, the main event,
These are the men,
Sie sind die Besten,
These are the champions!
Die Meister, die Besten, les meilleures équipes, the champions,
Die Meister, dis Besten, les meilleures équipes, the championns.
Rendons à Tony bridden ce qui appartient en partie à Georges Haendel. C'est en effet à partir de "ZADOG THE PRIEST" de Haendel que Tony a enrgistré ce morceau qui restera a jamais gravé dans nos mémoires comme synonyme d'odeur de bière chaude, de gout de pizza ramolie, de mains grasses à cause ou grace (c'est selon) aux petites friandises apéritives nommées Curly, éclats de rire, et autres taches sur le mobilier de vie (canapé, table basse en verre etc.). POur être tout à fait précis remercions chaleureusement les magnifiques organes des chanteurs et chanteuses du choeur de l'Academy Saint Martin of The Fields et le musiciens du Royal Philarmonic Orchestra pour cette interprétation pour le moins habitée.
Une étude du champs sémantique de ce texte saint nous permet de noter que dans son soucis d'universalité l'auteur a choisi de brasser les cultures et les langues. Si le choix d'intégrer le français ne fera nullement débat sur mon blog ( On connait les exploits légendaires de nos clubs phares à travers l'europe que sont Auxerre et Guingamp), pas plus que celui de l'anglais (cf présentation de ce blog) , le choix de l'allemand est toute fois plus discutable.
D'un point de vue footballistique il se justifie aisément. Que celui qui , alors qu'il n'était qu'un enfant encore plein d'espoir, n'a pas révé de porter un jour ce magnifique maillot frappé de l'aigle royal me jette la première pierre. A près tout que valait le plaisir de découvrir la vignette panini de Michel Platini quand on avait la chance de trouver dans le même paquet la vignette de cet incroyable Felix Magath ou de ce non moins fantasque Ulf Kirsten? Rien du tout. En plus on a tous en tête cet adage (élevé depuis peu au rang de Principe Général du Droit, PGD pour les intimes) "le football est un jeu qui se joue à 11 contre 11 et à la fin ce sont toujours les allemands qui gagnent". Adage vérifié de nouveau lors de la dernière coupe du monde...
Du point de vue de la musicalité, le choix de la langue de Harald Schumarer est plus discutable. J'en vois déjà certain prétendre que le portuguais ou l'espagnol auraient été plus judicieux, et je pense que l'on peut aisément dire que n'importe quelle autre langue nationale ou régionale aurait plus "swingué" (pour reprendre l'expression de Michel Leeb célèbre philosophe et historien des Crooners) que l'allemand. J'ajouterais même que le breton aurait été des plus judicieux pour remercier cette terre de granite d'avoir donner le jour à nos plus grands joueurs comme Paul "tacle propre" LeGuen, Stéphane "lucarne" Givarch' et Pierre Yves "rupture des ligaments croisés" André pour ne citer qu'eux.
On notera au passage que cette idée d'universalité des peuples autour du ballon rond (fabriqué par des enfants pakistanais de 10 ans qui, eux aussi, à leur manière participe ainsi à la fête du Football) a été reprise par Pascal Obispo dans son "Love United". Pascal , en extrêmiste de l'amitié entre les peuples avait intégré le portuguais et même des dialectes régionaux. Pascal est au même titre que Boutros boutros Ghali un des grands artisans de la paix dans le monde et on ne le dit pas assez. Les lumières peuvent dormir tranquilles, pascal perpétue leur philosophie .